LE MARATHON DE TOULOUSE OCTOBRE 2008
Marathon du Grand Toulouse (Toulouse-31) le 26 Octobre 2008
Voilà des mois que j’attends ce marathon avec la plus grande impatience , et pourtant si redouté aujourd’hui.
Le Marathon ma bête noire,... course d’endurance et de vitesse.
L’avion doit décoller à 6h45, et il faut se présenter 1h30 avant à l’aéroprt.
Serge à la gentillesse de me déposer à St Exupéry, il c’est levé donc très tôt aussi.
Une certaine euphorie toutefois, l’avion c’est génial… l’équipage est remarquable… le vol agréable… je vis des moments magiques, un véritable conte de fées.
40 min de vol pour atteindre Toulouse, une navette arrive 5 min after, un jeune homme et moi sympathisons et discutons courtoisement mais je refuserai quand même le café qu’il me propose !!!… le terminus arrive à la gare Matabiau à… 100 m de l’hôtel… et à quelques centaines de mêtres du départ pour le marathon… merci à l’organisateur (nickel), il sereco.....
Je suis arrivée la première, et hémil doit me rejoindre …Le voilà, ...hémil est grand avec beaucoup de classe et de distinction, nous nous promenons dans cette très belle ville « rose », et allons nous perdre de nombreuses fois.
Un café ensemble, balade au village Marathon, et retrait des dossards…
Le soleil est présent et il fait de plus en plus chaud, c’est génial.
Yoyo, et une amie doivent arrivés vers 12 h00… Cà y est, je les aperçois et je reconnais Yoyo immédiatement, … il est grand…belle allure, galant, et rempli d’humour. Son amie est charmante avec son petit accent chantant, et nature, nous nous entendrons spontanément et garderons contact ensemble pour longtemps je l’espère.
A midi, au restaurant tous ensemble , l’ambiance est propice à la plaisanterie ... mais nous parlerons sérieusement aussi, je vous rassure… moi aussi je vous passe les détails, nah …Hémil essaye de rester sérieux mais pas longtemps, Yoyo est taquin, et il a l’esprit vif et oui ! nous prenons de bon fous rire.
Allez petit entraînement collectif… Yoyo est entouré d’amis, et tous forts sympathiques… DD, est génial, le top du top pour de franches rigolades…
Tout est super bien, et nous partageons de bons moments. L’ambiance est à la fête à
Toulouse…
Le soir, rebelote… resto, et de nouveau plusieurs amis à YOYO nous rejoignent , toute une équipe de triathlètes (hommes, femmes)… moment inoubliable pour moi ............ Je m’en prendrai "plein la poire" , suite à des erreurs d’expression sur le … (voir bêtisier ci-dessous).Aie ! j’ en connais 1 qui ne me loupe pas, je ne donnerais pas le nom… hum, hum.
Dans la ville, il y a des orchestres… des chars de marionnettes géantes, c’est carnaval.
C’est l’heure de se coucher et heureusement, nous allons dormir une heure de plus.
La nuit sera courte,… et pourtant malgré un peu de fatigue au lever, une forme et une joie surnaturelle.
Petit dèj, tous ensemble, bonne humeur assurée… j’ai l’impression que nous nous connaissons tous depuis longtemps.
Un peu d’échauffement ensemble, et nous retrouvons dans la foule… excepté YOYO qui a obtenu dossard préférentiel , je ne le reverrai qu’à mon arrivée, c’est sûr !
C’est parti, 1 min 30 avant de franchir la ligne de départ, les ballons bleus des 3h30 sont déjà loin… çà pinaille… je suis ravie de faire la course avec Olivier un ami à Yoyo triathlète qui fait son premier marathon, il espère le faire en 3h30 aussi. Sur le premier kilomètre nous avons perdu 20 secondes à cause de la foule et sur le deuxième kilo, avons 40 secondes de plus.
Les ballons des 3h30, vont trop vite, j’ai beaucoup de mal à trouver mon souffle, sur le GPS, il apparaît 12.6 km/h, 13km/h (en plus les premiers kilomètres pour une femme sont difficiles hein YOYO! notre masse graisseuse...clin d'oeil). Un point de côté au 4ème km commence à arriver (comme une crampe diaphragmatique)… je ne dis rien à Olivier qui est ravi, et qui se sents super bien, je continu de sourire mais je suis inquiète pour la suite . Je garderais les pouces serrer dans mes mains (seule méthode efficace for me pour faire disparaître ce point) Je dis à Olivier, que nous ne sommes pas du tout sur le bon rythme, trop rapide, nous allons le payer après …les motards armés de leurs caméras sont présents, Olivier me fait signe que nous sommes filmés, et là il me dit : « dit donc tu es drôlement médiatisé comme fille…il n’y en a que pour toi… je pouffe de rire … et le point de côté c’est envolé… OUF. La foulée des 12 km/h est mémorisée dans mon esprit, je ralentis donc et nous maintiendrons ce rythme jusqu’au 35km, nous vérifions nos temps de passage tous les kilos, c’est impeccable 5 min/kilo, nous conservons 30 secondes d’avance que nous avons pris sur le 2 ème kilomètre. . Olivier et moi, faisons un relais pour la boisson, nous saisissons une bouteille chacun notre tour, et buvons à tour de rôle, je n’ai eu aucun arrêt aux ravitaillements, pour ma part, un gel toutes les heures.
Les spectateurs nous encouragerons du début à la fin, ainsi que les enfants. Les photographes sont présents, ils réaliseront de belles photos de tous ces concurrents. Nous remontons des centaines de coureurs, et ce, jusqu’à la fin.
Voilà, au-delà de 35ème, le mur est là… devant moi, le GPS annoonce 11.5, 11.8, j’essaye de relancer… pas facile, je prends un gel de plus, Olivier parle moins, je l’encourage, je lui dis que nous sommes dans la phase la plus dure du marathon, et que cela va passer dans un petit moment. Pour ma part, il n’aura jamais été aussi petit ce mur, 3 km seulement , ou un ras le bol est présent, un coup de mou… la hantise étant seulement de ne pas perdre trop de temps. Le mal est fait, nous perdons 2 m30, je crois, il y a quelques faux plats, 2 ou 3 côtes… pas facile. (la première féminine relate sur le journal, qu’il n’y a aucune difficulté sur ce parcours… euh!!! pas pour tous, madame,... pas une championne Sylvie).
Olivier aura été un super compagnon de course… au 35 eme, je ne le vois plus, me retourne, le cherche des yeux… je l’aperçois à un ravito. Je décide de continuer seule, les 5 derniers seront les plus longs de mon existence , et pourtant j’attends des gens dirent « belle foulée, c’est le bon rythme, 12.km/h, mais j’ai du mal à allonger la foulée, j’augmente donc la fréquence de celles-ci, tout du moins j’essaye. Il y a du monde derrière les barrières, le dernier kilo est magique, c’est le moment de tout donner… la ligne blanche est là, le panneau horaire annonce 3h32… le même qu’au GPS.
Malheureusement , je ne verrai pas Hémil, qui tente de me suivre, et ni Yoyo, qui est sur le parcours pour m’encourager.
Je suis heureuse, de la course, du chrono, du beau temps, de ce week-end… je cherche Yoyo… le voilà ! il me félicite, et je lui demande son temps … 2h56… waouh ! pari tenu moins de 3 heures pour lui . Je suis aussi heureuse que pour moi. Hémil, suivra de peu… content de sa course aussi.
Nous passerons un moment tous ensemble encore, jusqu’à mon départ où Hémil et Yoyo ont eu la délicatesse de me raccompagner jusqu’à la navette.
Un super week-end, avec des supers runners, beaucoup de joies et d’émotions… A bientôt j’espère.
Un coucou tout particulier à Julien et son papa que j'ai beaucoup apprécié.
SPECIAL BETISIER DE SYLVIE (la blonde):
Le meilleur humour est lorsque l’on arrive à se moquer de soi…
Bon, cela a commencer jeudi, lorsque j’ai eu Hémil et Yoyo au téléphone, j’ai parlé d’aérodrome au lieu d’aéroport, j’ai eu le droit à un petit cours de Français, et quelques moqueries gentilles ceci dit, hein les amis ???
En discutant au restaurant sur le vin, j’ai dit qu’il fallait regarder la jupe au lieu de la robe… là j’ai eu honte , Hémil et tous les autres morts de rire, et Yoyo m’a regardé comme si j’étais une extra terrestre.
Je demande au serveur, pourquoi le soir du marathon, il n’y avait pas de menu spécial .
Lui, il ne devait pas être bien fini, vu le regard qu’il m’a lancé, ainsi qu’une proposition de purée-jambon …areuh, oin oin !!!!
A l’hôtel, les chambres ferment avec des cartes, normal, c’est moderne… en sortant de ma chambre Yoyo, me dit de ne pas oublier de fermer à clef…. Ah, ah, ah, je me marre… il m’a encore déstabiliser, je cherche…. Ah oui, c’est une carte. GRR !!!
J’arriverai toutefois à lui mettre quelques petits coup de pieds et des petites tapes légères, Yoyo ne dit trop rien, mais il a mal au dos, cela se voit.
Ah oui, j’oubliais, qu’on a chercher des magasins qui vendaient des bananes, bah oui, j’en mange deux/jours , et alors quelqu’un à quelque chose à redire , à me force de me dire que l’homme descend du singe, je m’identifie à lui. Bon fou rire.
Il me reste à vous parler de notre petit échauffement en plein Toulouse, et surtout de nos étirements... oui les fameux sqatts!!!
Bon c'est pas de ma faute, je n'y arrive pas, mes talons se décollent du sol, j'vous dis pas la dégaine, ... je passe la chaise Romaine, ... on dirait qu'on est sur unch...
Il se passera plein de choses délicieuses, comme Yoyo qui a embrouillé complètement deux vieilles dames etc…
Des cours de Français sur toutes sortes de thèmes, enfin je me comprends…
SI VOUS NE ME PARLEZ PLUS APRES CE BETISIER,... JE COMPRENDRAIS
Z'est vraiment trop injuste!!!
Voilà des mois que j’attends ce marathon avec la plus grande impatience , et pourtant si redouté aujourd’hui.
Le Marathon ma bête noire,... course d’endurance et de vitesse.
L’avion doit décoller à 6h45, et il faut se présenter 1h30 avant à l’aéroprt.
Serge à la gentillesse de me déposer à St Exupéry, il c’est levé donc très tôt aussi.
Une certaine euphorie toutefois, l’avion c’est génial… l’équipage est remarquable… le vol agréable… je vis des moments magiques, un véritable conte de fées.
40 min de vol pour atteindre Toulouse, une navette arrive 5 min after, un jeune homme et moi sympathisons et discutons courtoisement mais je refuserai quand même le café qu’il me propose !!!… le terminus arrive à la gare Matabiau à… 100 m de l’hôtel… et à quelques centaines de mêtres du départ pour le marathon… merci à l’organisateur (nickel), il se
Je suis arrivée la première, et hémil doit me rejoindre …Le voilà, ...hémil est grand avec beaucoup de classe et de distinction, nous nous promenons dans cette très belle ville « rose », et allons nous perdre de nombreuses fois.
Un café ensemble, balade au village Marathon, et retrait des dossards…
Le soleil est présent et il fait de plus en plus chaud, c’est génial.
Yoyo, et une amie doivent arrivés vers 12 h00… Cà y est, je les aperçois et je reconnais Yoyo immédiatement, … il est grand…belle allure, galant, et rempli d’humour. Son amie est charmante avec son petit accent chantant, et nature, nous nous entendrons spontanément et garderons contact ensemble pour longtemps je l’espère.
A midi, au restaurant tous ensemble , l’ambiance est propice à la plaisanterie ... mais nous parlerons sérieusement aussi, je vous rassure… moi aussi je vous passe les détails, nah …Hémil essaye de rester sérieux mais pas longtemps, Yoyo est taquin, et il a l’esprit vif et oui ! nous prenons de bon fous rire.
Allez petit entraînement collectif… Yoyo est entouré d’amis, et tous forts sympathiques… DD, est génial, le top du top pour de franches rigolades…
Tout est super bien, et nous partageons de bons moments. L’ambiance est à la fête à
Toulouse…
Le soir, rebelote… resto, et de nouveau plusieurs amis à YOYO nous rejoignent , toute une équipe de triathlètes (hommes, femmes)… moment inoubliable pour moi ............ Je m’en prendrai "plein la poire" , suite à des erreurs d’expression sur le … (voir bêtisier ci-dessous).Aie ! j’ en connais 1 qui ne me loupe pas, je ne donnerais pas le nom… hum, hum.
Dans la ville, il y a des orchestres… des chars de marionnettes géantes, c’est carnaval.
C’est l’heure de se coucher et heureusement, nous allons dormir une heure de plus.
La nuit sera courte,… et pourtant malgré un peu de fatigue au lever, une forme et une joie surnaturelle.
Petit dèj, tous ensemble, bonne humeur assurée… j’ai l’impression que nous nous connaissons tous depuis longtemps.
Un peu d’échauffement ensemble, et nous retrouvons dans la foule… excepté YOYO qui a obtenu dossard préférentiel , je ne le reverrai qu’à mon arrivée, c’est sûr !
C’est parti, 1 min 30 avant de franchir la ligne de départ, les ballons bleus des 3h30 sont déjà loin… çà pinaille… je suis ravie de faire la course avec Olivier un ami à Yoyo triathlète qui fait son premier marathon, il espère le faire en 3h30 aussi. Sur le premier kilomètre nous avons perdu 20 secondes à cause de la foule et sur le deuxième kilo, avons 40 secondes de plus.
Les ballons des 3h30, vont trop vite, j’ai beaucoup de mal à trouver mon souffle, sur le GPS, il apparaît 12.6 km/h, 13km/h (en plus les premiers kilomètres pour une femme sont difficiles hein YOYO! notre masse graisseuse...clin d'oeil). Un point de côté au 4ème km commence à arriver (comme une crampe diaphragmatique)… je ne dis rien à Olivier qui est ravi, et qui se sents super bien, je continu de sourire mais je suis inquiète pour la suite . Je garderais les pouces serrer dans mes mains (seule méthode efficace for me pour faire disparaître ce point) Je dis à Olivier, que nous ne sommes pas du tout sur le bon rythme, trop rapide, nous allons le payer après …les motards armés de leurs caméras sont présents, Olivier me fait signe que nous sommes filmés, et là il me dit : « dit donc tu es drôlement médiatisé comme fille…il n’y en a que pour toi… je pouffe de rire … et le point de côté c’est envolé… OUF. La foulée des 12 km/h est mémorisée dans mon esprit, je ralentis donc et nous maintiendrons ce rythme jusqu’au 35km, nous vérifions nos temps de passage tous les kilos, c’est impeccable 5 min/kilo, nous conservons 30 secondes d’avance que nous avons pris sur le 2 ème kilomètre. . Olivier et moi, faisons un relais pour la boisson, nous saisissons une bouteille chacun notre tour, et buvons à tour de rôle, je n’ai eu aucun arrêt aux ravitaillements, pour ma part, un gel toutes les heures.
Les spectateurs nous encouragerons du début à la fin, ainsi que les enfants. Les photographes sont présents, ils réaliseront de belles photos de tous ces concurrents. Nous remontons des centaines de coureurs, et ce, jusqu’à la fin.
Voilà, au-delà de 35ème, le mur est là… devant moi, le GPS annoonce 11.5, 11.8, j’essaye de relancer… pas facile, je prends un gel de plus, Olivier parle moins, je l’encourage, je lui dis que nous sommes dans la phase la plus dure du marathon, et que cela va passer dans un petit moment. Pour ma part, il n’aura jamais été aussi petit ce mur, 3 km seulement , ou un ras le bol est présent, un coup de mou… la hantise étant seulement de ne pas perdre trop de temps. Le mal est fait, nous perdons 2 m30, je crois, il y a quelques faux plats, 2 ou 3 côtes… pas facile. (la première féminine relate sur le journal, qu’il n’y a aucune difficulté sur ce parcours… euh!!! pas pour tous, madame,... pas une championne Sylvie).
Olivier aura été un super compagnon de course… au 35 eme, je ne le vois plus, me retourne, le cherche des yeux… je l’aperçois à un ravito. Je décide de continuer seule, les 5 derniers seront les plus longs de mon existence , et pourtant j’attends des gens dirent « belle foulée, c’est le bon rythme, 12.km/h, mais j’ai du mal à allonger la foulée, j’augmente donc la fréquence de celles-ci, tout du moins j’essaye. Il y a du monde derrière les barrières, le dernier kilo est magique, c’est le moment de tout donner… la ligne blanche est là, le panneau horaire annonce 3h32… le même qu’au GPS.
Malheureusement , je ne verrai pas Hémil, qui tente de me suivre, et ni Yoyo, qui est sur le parcours pour m’encourager.
Je suis heureuse, de la course, du chrono, du beau temps, de ce week-end… je cherche Yoyo… le voilà ! il me félicite, et je lui demande son temps … 2h56… waouh ! pari tenu moins de 3 heures pour lui . Je suis aussi heureuse que pour moi. Hémil, suivra de peu… content de sa course aussi.
Nous passerons un moment tous ensemble encore, jusqu’à mon départ où Hémil et Yoyo ont eu la délicatesse de me raccompagner jusqu’à la navette.
Un super week-end, avec des supers runners, beaucoup de joies et d’émotions… A bientôt j’espère.
Un coucou tout particulier à Julien et son papa que j'ai beaucoup apprécié.
SPECIAL BETISIER DE SYLVIE (la blonde):
Le meilleur humour est lorsque l’on arrive à se moquer de soi…
Bon, cela a commencer jeudi, lorsque j’ai eu Hémil et Yoyo au téléphone, j’ai parlé d’aérodrome au lieu d’aéroport, j’ai eu le droit à un petit cours de Français, et quelques moqueries gentilles ceci dit, hein les amis ???
En discutant au restaurant sur le vin, j’ai dit qu’il fallait regarder la jupe au lieu de la robe… là j’ai eu honte , Hémil et tous les autres morts de rire, et Yoyo m’a regardé comme si j’étais une extra terrestre.
Je demande au serveur, pourquoi le soir du marathon, il n’y avait pas de menu spécial .
Lui, il ne devait pas être bien fini, vu le regard qu’il m’a lancé, ainsi qu’une proposition de purée-jambon …areuh, oin oin !!!!
A l’hôtel, les chambres ferment avec des cartes, normal, c’est moderne… en sortant de ma chambre Yoyo, me dit de ne pas oublier de fermer à clef…. Ah, ah, ah, je me marre… il m’a encore déstabiliser, je cherche…. Ah oui, c’est une carte. GRR !!!
J’arriverai toutefois à lui mettre quelques petits coup de pieds et des petites tapes légères, Yoyo ne dit trop rien, mais il a mal au dos, cela se voit.
Ah oui, j’oubliais, qu’on a chercher des magasins qui vendaient des bananes, bah oui, j’en mange deux/jours , et alors quelqu’un à quelque chose à redire , à me force de me dire que l’homme descend du singe, je m’identifie à lui. Bon fou rire.
Il me reste à vous parler de notre petit échauffement en plein Toulouse, et surtout de nos étirements... oui les fameux sqatts!!!
Bon c'est pas de ma faute, je n'y arrive pas, mes talons se décollent du sol, j'vous dis pas la dégaine, ... je passe la chaise Romaine, ... on dirait qu'on est sur un
Il se passera plein de choses délicieuses, comme Yoyo qui a embrouillé complètement deux vieilles dames etc…
Des cours de Français sur toutes sortes de thèmes, enfin je me comprends…
SI VOUS NE ME PARLEZ PLUS APRES CE BETISIER,... JE COMPRENDRAIS
Z'est vraiment trop injuste!!!