COURSE A PIED ET ULTRA FOI

Santé


Le certificat médical

La première course que j'ai faite, étant vraiment débutante mais ayant pris le soin de bien me préparer, je suis allée sur les lieux m'inscrire sur une course de "saucisson de village", quelle surprise lorsqu'on m'a demander un certificat médical. Je suis repartie plus que désolée, n'étant pas au courant.

 

La loi N° 99-223, relative à la protection de la santé des sportifs et de la lutte contre le dopage a été votée à l'assemblée Nationale le 23 mars 1999.

Ces dispositions obligent l'ensemble des coureurs français ou étrangers à fournir la preuve de leur aptitude de la pratique de la course à pied en compétition, aptitude justifiée par un certificat médical, délivré par un médecin, suite à un examen médical.

 

1 - Vous êtes coureur dlicencié de la Fédération Française d'Athlétisme

     . Vous devez impérativement noter votre numéro de licence sur le bulletin d'inscription et joindre la photocopie de votre licence en cours de valitdation (saison 2010/2011).

     . En cas d'oubli vous devez présenter votre licence au moment de retrait du dossard.

 

2 - Vous êtes coureur licencié DFSCF, FSGT, ou UFOLEP

Titulaires d'une licence faisant apparaitre de façon précise la mention "athlétisme" (autorisation médicale sur la carte de licence, sur une étiquette autocollante apposée...).

     . Vous devez impérativement joindre la copie de votre licence en cours de validation (saison 2010/2011).

     . En cas d'oubli vous devez présenter votre licence au moment de retrait du dossard.

 

3 - Vous êtes coureur licencié DFF Triathlon compétition

 

Sur un accord intervenu entre la FFTRI, la FFA et le Ministre des Sports (circulaire n° 46 du 19 novembre 2008) les organisateurs de courses hors stade peuvent désormais accpeter les licences FFTRI compétition.

Les licenciés FFTRI seront donc accueillis sur les courses hors stade, sans présentation d'un certificat médical supplémentaire.

 

     . Vous devez impérativement joindre la copie de votre licence en cours de validation (saison 2010/2011).

     . En cas d'oubli vous devez présenter votre licence au moment de retrait du dossard.

 

4 - Vous êtes coureur licencié de toute autre Fédération ou non licencié

     . Vous devez avoir, en votre possession, un certificat médical de non contre indication de la pratique de l'athlétisme (ou course à pied) en compétition datant d'un an à la date de la course prévue.

     . Ce certificat médical ou sa copie devra être fournie à l'organisateur pour vous permettre de retirer votre dossard.

 

ATTENTION : Suite à la circulaire n° 13 du 21 avril 2008, il est précisé que le certificat médical doit comporter la mention "non contre indication de la pratique de l'athlétisme en compétion" ou "non contre indication de la pratique de la course à pied en compétition".

Toute autre mention ne pourra être accpetée.

 


29/07/2010


L'EAU C'EST LA VIE

Bruno ACHARD, un ami et  athlète (marathonien principalement en objectif 2H40), m'a fait un petit condensé sur l'eau, je le mets sur le blog car effectivement c'est un sujet important qui peut nous éviter bien des blessures telles que les tendinites, nous le savons tous en tant que sportifs et athlètes et pourtant parfois nous faisons l'impair de ne pas respecter ces grands principes de l'hydratation. Il suffit de prendre cette bonne habitude d'avoir une bouteille d'eau à portée de main et de boire régulièrement tout au long de la journée par petites gorgées.

 

 L'eau, c'est un élément primordial de la récupération et du bon fonctionnement de notre métabolisme


- l'eau c'est la vie

- ne pas manger nous pouvons, ne pas boire nous mourons

- le corps est composé de 60% d'eau

- Quand il te manque 2% d'eau, c'est -20% d'efficacité

> Boire après la course, te permet d'éliminer et donc d'évacuer les toxines et autres déchets, et faciliter ta récupération

> Si tu ne bois pas, tu transpires moins et ton corps ne peut plus termoréguler (surchauffe, fatigue, baisse de la performance ...)

> N'attend pas d'avoir soif pour boire

> Bois par petite quantité tout au long de la journée

- Bois par petite quantité tout au long d'un effort supérieur à 1H00, mais avant 1H00 s'il fait très chaud

- bien boire la veille d'une course longue

Une des causes des tendinites est le manque d'hydratation

il faut donc boire, avant , pendant et après l'effort mais également tout au long de la journée (1.5l mini à 2.5l d'eau)


27/07/2010


PEDICURE

     en 30 à 40' vous apprendrez plein de choses sur l'état de os pieds et les soins quotidiens à leur apporter chez vous. A l'approche d'une grande compétition (type marathon), faites examiner vos pieds, mais 15 jours avant pas la veille: les soins (en particulier élimination des ongles incarnés) causent de petites irritations nécessitant quelques jours pour ne plus laisser de sensations désagréables en courant. Ne vous lancez jamais dans un marathon, un raid, un 100 km, une marche populaire, un stage de plusieurs jours, sans être sûr(e) de n'avoir ni ongles incarnés, ni cors, ni durillons. Si vous courez plusieurs fois par semaine, une visite par semestre ne sera pas de trop.

Pour ma part, j'ai souvent des ongles noirs, car mes orteils butent dans le bout des chaussures, particulièrement sur des terrains accidentés, style les "trail", il faut donc que je serre le bout de la chaussure pour bloquer le pied, mais je pense être crispée et courir peut-être les orteils recroquevillés, bref, le pédicure me désépaissit l'ongle et cela ne sert à rien de faire autre chose, car l'ongle tombe de lui même, et il n'y a aucune gêne, voire, je suis mieux sans ongle. Evidemment je ne parle pas du côté esthétique.

Suite, à un rand trail, j'ai eu une ampoule sous l'ongle qui c'est formée, cela a été très douloureux, car boursouflé et rouge autour de l'ongle. J'ai voulu percer à la dure avec une épingle à nourrice "à la  guerre comme à la guerre", et je n'avais aucun désinfectant, au bout d'une heure sur mon lieu de travail je suis partie aux urgences, un panari c'était formé. Il a fallu passer une radio, car l'os peut être attaqué, le chirurgien avec une petite anesthésie locale à inciser pour évacuer le liquide, j'ai été sous antibiotiques 8 jours, avec un anti douleur qui m'endormait ainsi que des pansements spéciaux à faire faire par une infirmière (me suis débrouillée), j'aurais dù stopper la course quelques jours, mais je n'ai arrêter l'entrainement. Eviter de toujours percer, ou bien faire beaucoup de bain de pieds, et désinfecter énormément ainsi que brûler l'aiguille auparavant pour la stériliser.

DES SOINS QUOTIDIENS

 

- Eliminer callosités, ongles incarnés, cors, durillons, verrues.

Cela impose de passer, au moins au début, par (le) la pédicure. ensuite vous assurerez les soins quotidiens de vos pieds avec une trousse spéciale et une pierre ponce ou une râpe double face (élimination des peaux sèches et de la corne qui sont de vrais nids d'ampoules sans aller jusqu'à mettre la peau à vif).

 

     - La taille des ongles est à effectuer une fois par semaine. Ne les laissez pas trop longs pour ne pas percer la chaussette et vous blesser en touchant le bout de la chaussure (hématome sous-unguéal), pas trop courts au risque de ne plus protéger le bout des orteils. Coupez vos ongles au carré légèrement arrondis sur les bords afin que les orteils plus petits ne viennent pas blesser les plus grands.

 

     - La corne provient du frottement, le gros orteil étant le plus sensible ; mais si vous êtes droitier, votre pied droit est victime de tous les bobos (pied sec au talon, comme sur le gros orteil).

 

     - Un cor entre les orteils doit être enlevé par (le) ou la pédicure, puis empêché de réapparaître avec un protecteur (proposé en pharmacie). Des chaussures assez larges à l'avant-pied sont indispensables, tenir compte que le pied gonfle, surtout en compétition.

 

     - Une verrue est à faire enlever par un médecin dermatologue : arrêt de l'entraînement quelques jours.

 

     - Avant de courir, songez à la propreté de vos pieds et de vos chaussettes. Le talc participe à la prévention des ampoules en absorbant l'humidité due à la transpiration. Vous pouvez être amené(e) à protéger vos orteils avec de petits pansementsou des "double-peau" anti-pression), surtout si vous êtes victimes de "bobos" chroniques non soignés ou qui tardent à guerir.


31/05/2010


LE SYNDROME PREMENSTRUEL

Je suis heureuse de cet article que je vais écrire avec de faibles mots, mais il concerne un bon nombre d'entre nous les femmes 35 à 40 % , ...  Malheureusement quelle puissance dans cet handicap qui est notre cycle menstruel.

Le syndrome prémenstruel (SPM) est un ensemble de symptômes physiques et émotionnels qui surviennent de sept à dix jours avant les règles, et qui prennent généralement fin avec leur arrivée ou dans les quelques jours qui suivent.

De nombreuses femmes souffrent d'un syndrome prémenstruel. Bien que la cause de cette affection reste mystérieuse, la modification des sécrétions hormonales semble être impliquée.

Pour ma part cet inconfort, commence 5 à 10 jours avant les règles.

Les symptômes les plus courants sont un gonflement du bas-ventre, une grande fatigue, les seins sensibles et gonflés, et des maux de tête.

Bon! Messieurs vous vous plaignez souvent de nos humeurs instables de notre irritabilité, nos états d'âmes dans ces moments, mais cela est très pénible pour nous, sachez le! Prenez tant qu'à faire le meilleur, à savoir une forte hausse de notre libido. Mais, bon! Nous les sportifs c'est toute l'année ce bien être.

Et bien! je n'ai pas honte de dire que malheureusement, je ressens tous ces symptômes, et que j'essaie de gérer au mieux, mais cela devient une hantise, de plus pour nous les "runneuses", toute performance est IMPOSSIBLE, une compétition avant les règles est vouée à l'échec, essouflement, jambes de plomb (vous avez déjà vu un soldat de plomb courir vous?), plus le goût, envie de pleurer, voire de tuer son prochain, lol.

Il faut savoir que suite à des enquêtes, les taux d' accidents de la route chez les femmes, ainsi que les suicides ont été constaté en hausse pendant cette période.

 

Symptômes du syndrome prémenstruel

          Un gonflement du bas-ventre. (ouh! On ne l'aime pas celui-là, nos jeans non plus),
  • Une fatigue prononcée. (horrible, un lit svp)
  • Des symptômes causés par de la rétention d'eau : prise de poids, seins sensibles et gonflés, mal de jambes ou jambes lourdes, transpiration abondante des mains et des pieds. (quelle gêne, le trou de souris est pas mal)
  • Des symptômes d'ordre émotionnel : humeur changeante, irritabilité, agressivité, difficulté à se concentrer, dépression, hausse ou baisse de la libido. (pfff, il est où mon doudou???)
  • Des fringales pour des aliments sucrés ou salés. (miam! Bah je miam du choc)
  • Des maux de tête ou des migraines. (un mur svp)
  • Des crampes abdominales (en raison de spasmes de l'utérus). (spasfon, help)
  • Des douleurs musculaires, en particulier au bas du dos. (j'accouche ou quoi?)
  • Une poussée d'acné. (me voilà ado de nouveau)
  • Des bouffées de chaleur.(et ménopausée)
  • Au total, plus de 100 manifestations cliniques ont été rapportées, hum! pourquoi tant de haine dans un si petit corps???? Lol
  • J'en ajoute encore deux, la peau qui devient grasse ainsi que les cheveux, bouhhhh!!!!

Non, ce n'est pas grave si l'on considère uniquement le risque de complications somatiques. En revanche, la survenue mensuelle de manifestations parfois très pénibles, entraînant dans les cas les plus sévères un arrêt des activités habituelles, peut nuire considérablement à la qualité de vie, alors prenons le taureau par les cornes, je vais vous expliquer plus loin...

Voilà les remèdes (remedy) que j'essaie d'appliquer à ma vie, en premier lieu.

Prendre des  mesures hygiéno­diététiques durant cette période:


­ - Aménager au mieux sa vie personnelle et sociale en fonction des dates du cycle menstruel; (vos coachs mesdames doivent savoir vous faire travailler en tant qu'athlète en fonction de ces difficultés).

 

 


­ - En période prémenstruelle, observer un certain degré de restriction hydrosodée, éviter les sucres à élimination rapide, ainsi que les excitants du système nerveux (café, tabac, alcool);
­ certains proposent également une approche nutritionnelle de ces difficultés: réduction de l'apport en oligo­saccharides, apport en vitamine B6 et en zinc, réduction des graisses d'origine animale, et de la consommation d'acides gras insaturés dans leur forme isomérique " trans"; apport en acides gammalinoléique (huile d'onagre) précurseur des prostaglandines E1, dont le déficit a été invoqué à l'origine de la plupart des manifestations du syndrome prémenstruel.

 

MA PRISE DE MESURE EFFICACE:

Je me suis permise de contacter Franck Mantel, un ami, et un membre du team NB, après lui avoir parlé de mes difficultés citées ci-dessus, dès réception du produit commandé NATURAL OESTROGENE (bio), je tente l'expérience sous le contrôle de Franck au niveau du dosage et de la prise des gélules avant les règles afin  de réduire ces effets du SPM. Prêt à tout pour mettre fin à cela, je suis impatiente de commencer. Il faudra je pense équilibrer petit à petit, au fil des mois ces prises, je laisse le soin à Franck de me conseiller, il faut être en collaboration pour ce test qui est sans danger aucun.

Je vous mettrais le lien si c'est efficace du site où l'on peut se procurer ce produit.

 

L'évolution : ... Ce que je sais ...

Le syndrome prémenstruel apparaît en général progressivement au cours de la vie génitale, ou à la suite d'une circonstance déclenchante: accouchement ou avortement, infection génitale, choc psycho­affectif.

Ceci souligne d'emblée un caractère capital du syndrome prémenstruel, et qui s'affirme tout au long de l'évolution: I'importance des facteurs psychologiques. Les symptômes s'installent souvent à la suite de difficultés ou de chocs psychologiques, et leur évolution, leur sévérité au fil des cycles, sont rythmées par les événements de la vie psycho­affective et les épisodes de la vie génitale. Cette dimension est à prendre en compte dans l'abord de la thérapeutique, et l'appréciation de son efficacité.

Quel que soit son mode de début, l'évolution du syndrome prémenstruel est imprévisible. Il disparaît en général lorsque les menstruations cessent: au cours de la grossesse, et à la ménopause. Ceci est toutefois loin d'être systématique: très curieusement, un syndrome prémenstruel typique peut se manifester à la date théorique des règles au cours des 2 ou 3 premiers mois de grossesse; de même, le syndrome peut survivre plusieurs mois à l'arrêt des menstruations, physiologique ou secondaire à une castration chirurgicale.

 

COURAGE NOUS SOMMES FORTES, puisque grâce à ce cycle naturel, nous pouvons donner la vie à des enfants.


20/05/2010


LE SYNDROME PREMENSTRUEL

Je suis heureuse de cet article que je vais écrire avec de faibles mots, mais il concerne un bon nombre d'entre nous les femmes 35 à 40 % , ...  Malheureusement quelle puissance dans cet handicap qui est notre cycle menstruel.

Le syndrome prémenstruel (SPM) est un ensemble de symptômes physiques et émotionnels qui surviennent de sept à dix jours avant les règles, et qui prennent généralement fin avec leur arrivée ou dans les quelques jours qui suivent.

De nombreuses femmes souffrent d'un syndrome prémenstruel. Bien que la cause de cette affection reste mystérieuse, la modification des sécrétions hormonales semble être impliquée.

Pour ma part cet inconfort, commence 5 à 10 jours avant les règles.

Les symptômes les plus courants sont un gonflement du bas-ventre, une grande fatigue, les seins sensibles et gonflés, et des maux de tête.

Bon! Messieurs vous vous plaignez souvent de nos humeurs instables de notre irritabilité dans ces moments, mais cela est très pénible pour nous, sachez le! Prenez tant qu'à faire le meilleur, à savoir une forte hausse de notre libido.

Et bien! je n'ai pas honte de dire que malheureusement, je ressens tous ces symptômes, et que j'essaie de gérer au mieux, mais cela devient une hantise, de plus pour nous les "runneuses", toute performance est IMPOSSIBLE, une course avant les règles est vouée à l'échec, essouflement, jambes de plomb, plus le goût, envie de pleurer, voire de tuer son prochain, lol.

Il faut savoir que suite à des enquêtes, les taux d' accidents de la route chez les femmes, ainsi que les suicides ont été constaté en hausse pendant cette période.

Symptômes du syndrome prémenstruel

          Un gonflement du bas-ventre. (ouh! On ne l'aime pas celui-là, nos jeans non plus),
  • Une fatigue prononcée. (horrible, un lit svp)
  • Des symptômes causés par de la rétention d'eau : prise de poids, seins sensibles et gonflés, mal de jambes ou jambes lourdes, transpiration abondante des mains et des pieds. (quelle gêne, le trou de souris est pas mal)
  • Des symptômes d'ordre émotionnel : humeur changeante, irritabilité, agressivité, difficulté à se concentrer, dépression, hausse ou baisse de la libido. (pfff, il est où mon doudou???)
  • Des fringales pour des aliments sucrés ou salés. (miam! Bah je miam du choc)
  • Des maux de tête ou des migraines. (un mur svp)
  • Des crampes abdominales (en raison de spasmes de l'utérus). (spasfon, help)
  • Des douleurs musculaires, en particulier au bas du dos. (j'accouche ou quoi?)
  • Une poussée d'acné. (me voilà ado de nouveau)
  • Des bouffées de chaleur.(et ménaopausée)
  • Au total, plus de 100 manifestations cliniques ont été rapportées, hum! pourtant tant de haine dans un si petit corps???? Lol

Non, ce n'est pas grave si l'on considère uniquement le risque de complications somatiques. En revanche, la survenue mensuelle de manifestations parfois très pénibles, entraînant dans les cas les plus sévères un arrêt des activités habituelles, peut nuire considérablement à la qualité de vie, alors prenons le taureau par les cornes, je vais vous expliquer plus loin...

Voilà les remèdes (remady) que j'essaie d'appliquer à ma vie, en premier lieu.

Prendre des  mesures hygiéno­diététiques durant cette période:


­ - Aménager au mieux sa vie personnelle et sociale en fonction des dates du cycle menstruel; (vos coachs mesdames doivent savoir vous faire travailler en tant qu'athlète en fonction de ces difficultés).


­ - En période prémenstruelle, observer un certain degré de restriction hydrosodée, éviter les sucres à élimination rapide, ainsi que les excitants du système nerveux (café, tabac, alcool);
­ certains proposent également une approche nutritionnelle de ces difficultés: réduction de l'apport en oligo­saccharides, apport en vitamine B6 et en zinc, réduction des graisses d'origine animale, et de la consommation d'acides gras insaturés dans leur forme isomérique " trans"; apport en acides gammalinoléique (huile d'onagre) précurseur des prostaglandines E1, dont le déficit a été invoqué à l'origine de la plupart des manifestations du syndrome prémenstruel.

MA PRISE DE MESURE EFFICACE:

Je me suis permise de contacter Franck Mantel, un ami, et un membre du team NB, après lui avoir parlé de mes difficultés citées ci-dessus, dès réception du produit commandé NATURAL OESTROGENE (bio), je tente l'expérience sous le contrôle de Franck au niveau du dosage et de la prise des gélules avant les règles de réduire ces effets du SPM. Prêt à tout pour mettre fin à cela, je suis impatiente de commencer. Il faudra je pense équilibrer petit à petit, au fil des mois ces prises, je laisse le soin à Franck de me conseiller, il faut être en collaboration pour ce test qui est sans danger aucun.

Je vous mettrais le lien si c'est efficace du site où l'on peut se procurer ce produit.

L'évolution : ... Ce que je sais ...

Le syndrome prémenstruel apparaît en général progressivement au cours de la vie génitale, ou à la suite d'une circonstance déclenchante: accouchement ou avortement, infection génitale, choc psycho­affectif.

Ceci souligne d'emblée un caractère capital du syndrome prémenstruel, et qui s'affirme tout au long de l'évolution: I'importance des facteurs psychologiques. Les symptômes s'installent souvent à la suite de difficultés ou de chocs psychologiques, et leur évolution, leur sévérité au fil des cycles, sont rythmées par les événements de la vie psycho­affective et les épisodes de la vie génitale. Cette dimension est à prendre en compte dans l'abord de la thérapeutique, et l'appréciation de son efficacité.

Quel que soit son mode de début, l'évolution du syndrome prémenstruel est imprévisible. Il disparaît en général lorsque les menstruations cessent: au cours de la grossesse, et à la ménopause. Ceci est toutefois loin d'être systématique: très curieusement, un syndrome prémenstruel typique peut se manifester à la date théorique des règles au cours des 2 ou 3 premiers mois de grossesse; de même, le syndrome peut survivre plusieurs mois à l'arrêt des menstruations, physiologique ou secondaire à une castration chirurgicale.

COURAGE NOUS SOMMES FORTES, puisque grâce à ce cycle naturel, nous pouvons donner la vie à des enfants.


20/05/2010